Petits Plaisirs d’été #Feuilleton#4

Tout au long de ses derniers mercredis avant notre pause « vacances » du 16 juillet au 2 septembre, nous vous proposons de vous évader en mode « grandes vacances » dans le Grand-Paris. Suivez-nous, c’est par ici :

• On retrouve le plaisir de faire ses courses au marché :
on laisse de côté le supermarché, et direction vers le vrai marché avec son fromager, les maraîchers, le poissonnier, le marchand de fleur… certains ont même des stands de dégustation. Chacun a son signe particulier, alors pour trouver celui qui sort des sentiers battus, à la ville comme à la campagne, cliquez sur www.marchedefrance.org

• On va cueillir la Berce en Forêt de Fontainebleau
Quèsaco ? C’est une plante sauvage et comestible pouvant atteindre 1m50 que l’on trouve en bordure route dans la forêt de Fontainebleau. Une jeune pousse coupée, dégage de subtiles notes d’agrumes, presque de mandarine, et de noix de coco.
Elle a une grosse tige cannelée, à poils raides. Les feuilles sont composées de 3 à 7 folioles, très larges et dentés. Dans la cuisine, les jeunes feuilles sont délicieuses à manger crue, tandis que les plus « âgées » seront parfaites en légumes, cuit en tarte, gratin ou potage.

• On s’inspire de « Festin de Nature »
Véritable ode au manger « sain », cet ouvrage de cuisine « veggie » hors du commun, est le fruit des passions d’Erin Gleeson amoureuse des produits de la terre qu’elle sublime en 100 recettes –entrées, boissons, salades, desserts et surtout plats complets- des plus originales et ultra-simples à réaliser. Edition de La Martinière 25 €.

• On se fait une orgie de crustacés…
…Oui, mais comment bien les choisir ?
La langoustine
elle se consomme entre avril et octobre, est de couleur rose pâle ou orange-brun et non pas gris foncé, a une chair translucide et des yeux brillants. Attention si elle dégage une odeur aigre.
Le Tourteau se consomme entre mai et septembre, il faut l’acheter vivant, entier, lourd, aux antennes bien mobiles. S’il allonge les pattes, c’est qu’il est à l’agonie et s’il fait des bulles qu’il est déshydraté !
Le Homard et la Langouste : les deux doivent être vivants et bouger vigoureusement,… et avec toutes leurs pinces. Seule l’absence d’antenne chez une langouste peut être tolérée car elles sont très fragiles.